I S
A B E L L
E B O N N A D I E R
Press Book
Extraits de presse | |
A propos de "Si je t'écris...", voir le blog de Jenna Boulmedaïs du 4 janvier 2019. "On y voit une magnifique femme (et je pèse mes mots, vraiment, elle était sublime) sur scène qui, du début à la fin, nous tient l’œil et nous fait battre le coeur. " "J’entends encore mon ami (qui m’a accompagné) me chuchoter « regarde comme elle est magnifique ». Oui, elle l’était. Sa voix, ses gestes, sa grace, sa douceur… Tout y était." |
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Isabelle
BONNADIER, rencontrée par hasard sur les ondes,
elle chantait Brel, un moment extatique : www.isabellebonnadier.net Joël
LEPLAT http://www.chanson-poesie.fr |
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« Quand
Isabelle chante, on écoute, on savoure, on se laisse
entraîner, que ce soit dans ce cabaret des
chimères ou
dans les répertoires lyriques qui ont formé la
chanteuse
» |
avec l'Orchestre d'Auvergne dirigé par Arie Van Beek |
« La soprano
y montre l'intelligence des textes, le sens et le goût des
nuances, l'éclairage qui convient à chacune des
pages, la sensibilité à fleur de notes.
» |
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« Isabelle Bonnadier possède naturellement et maîtrise au plus que parfait cette souplesse dans l'émission et cette fraîcheur naturelle qu'elle sait relever d'alacrité ou teinter d'une ombre mélancolique ou d'un rire charmeur (...) La diction répond au plaisir du chant et parfait cette expressivité d'une exquise spontanéité. La séduction est totale. D'autant que la jolie soprano marie à l'élégante plasticité de sa ligne vocale d'indéniables talents de comédienne. » (Roland Duclos, "La Montagne"). |
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« …Et
chaque musicien « dans chaque port » prend vie par
la voix
et la gestuelle d’Isabelle BONNADIER, jamais tout
à fait
la même ni tout à fait une autre, au
talent
d’expression tour à tour tendre, dramatique,
taquin,
familier, précieux, qui nous emmène dans un
rêve
étrange et pénétrant au gré
de la
mélodie à interpréter.
» |
"Les musiciens de Victor Hugo", avec Edouard Exerjean Photo Sylvie Carenco |
«
Si la grâce, en théologie est une notion difficile
à définir, on peut dire, sans emphase, avec la
même
simplicité qui rayonne d'elle, qu'Isabelle Bonnadier, en
sourire
et en chant, est une image physique et musicale de la grâce.
» |
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A propos du disque " Fêlures, vertiges et autres fredaines, Isabelle Bonnadier... à la folie" et du spectacle "Le cabaret des chimères", voir :
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Ci-dessous la chronique consacrée au spectacle "Le Cabaret des chimères" par Benito Pelegrin sur son blog (et parue dans la revue marseillaise du théâtre) suite aux représentations des 19 et 20 janvier 2007 au Théâtre Marie-Jeanne à Marseille.
[http://benitopelegrin.blogspot.com (chroniques) - http://bpelegrin-livres.blogspot.com]
Non, Isabelle Bonnadier n’est pas qu’une souriante et gentille mésange, dotée par les anges d’une ingénue et musicale voix et qui chante et nous enchante, posée sur une branche éthérée sur un fond de ciel bleu sans nuage. Isabelle est une artiste complète, inquiète, en quête : passant avec bonheur de Monteverdi, perverse Drusilla face à Poppée, à Hændel avec un champêtre détour par les champs et Chants d’Auvergne, sans camper sur des terrains fertiles mais faciles, elle bouge, s’interroge, cherche.
Cette fois-ci, sous l’égide de « L’Oiseau qui chemine », pour notre nostalgique bonheur, elle nous conduit de la main, guide orphique et lumineux, dans l’ombreuse complicité confidentielle d’un Cabaret des chimères, dont la chimère est sans doute, à notre vulgaire époque, de ressusciter cet art perdu au détour du siècle, celui porté au sommet, au début de l’autre, par rien moins que Schönberg, Weill, à Vienne, à Berlin, à Paris : les cabarets littéraire, poétiques et musicaux qui ont donné des chef-d’œuvres : Le Pierrot lunaire, classique fondateur désormais du sprachgesang, est issu de ces expériences menée par poètes, acteurs, compositeurs et, souvent, peintres (Schönberg l’était aussi).
Baissant son joli soprano comme pour nous
chuchoter à l’oreille, Isabelle nous introduit
d’abord a capella, en italien, dans la mezza notte
propice à ces murmures, à ces confidences,
parfois coquines, où elle se livre à
l’ivresse des mots et des notes. Les mots : des
poèmes d’Éluard, de Louise de Vilmorin,
de Marcel Achard, de Prévert, de Desnos, de Queneau,
Schiller… Les notes : des musiques de Satie, Auric, Merula,
Sauguet, Van Parys, Weill, Piazzola… Et des paroles et des
musiques aussi d’Isabelle, qui sert amoureusement la trop
méconnue Viviane Montagnon, Vilmorin, Desnos, Dimey et
elle-même, auteur et compositeur de textes qui
n’ont rien à envier à ceux des autres
qu’elle a choisis. En effet, il y a une belle harmonie entre
ces paroles de poètes, souvent fondées sur le jeu
primordial du verbe, toujours au début, le jeu de sons qui
fait sens, et les siens, ainsi son bouleversant Odessa,
qui jouant sur la dérivation sonore « Oh dis-moi,
Odessa », traduit le désarroi, la
détresse d’exilés de la vie. Car, sans
discours, c’est l’inquiétude du monde,
c’est la quête utopique et
désespérée (Youkali),
un aveu de compassion humaine mais aussi un cri déchirant
d’impuissance et un désir d’agir
à sa façon que nous délivre Isabelle
Bonnadier avec la complicité d’un pianiste
arrangeur inspiré, Laurent Desmurs, qui, d’un
synthé fait vivre un piano de concert qui
n’injurie pas Schubert et d’Alain Territo, scandant
les chaudes palpitations de la contrebasse et dont la ligne tenue et
continue du bandonéon est comme un vaste et lointain horizon
chimérique de pampa ou d’univers
déchirant.
Oui, un beau moment. Mais autre chimère
: on rêverait d’une vraie mise en scène
ou d’une mise en espace au moins pour sublimer ce spectacle
et lui permettre d’avoir l’audience qu’il
mérite très largement.
Benito Pelegrin - 19 janvier 2007
On retrouve avec bonheur Isabelle, Desmurs, Territo plus Gilles Raymond
dans un disque précieux avec presque toutes ces chansons, Isabelle
Bonnadier… à la folie, «
Fêlures, vertiges et autres fredaines ». Disques
Velen.
A propos des Chants d'Auvergne
![]() |
La
trajectoire de la jeune et talentueuse soprano Isabelle Bonnadier
pourrait se
résumer en un mot : cheminements. Elle a rencontré le chant en passant par la danse et le théâtre. Isabelle rend hommage au mouvement, celui par qui la vibration se fait. Dans le trajet de cette femme au sourire magnétique, des professeurs différents, complémentaires, enrichissants : Christine Prost, celle par qui l’aventure vocale arrive, Lise Arseguet, qui l’initie au baroque, Jacques Mars, plus orienté vers l’opéra. Et
elle goûte à tout, Isabelle, gourmande
d’expériences nouvelles et
constructives. Il s’agit d’une rencontre musicale itinérante entre artistes et public. Le thème de cette année était les Chants d’Auvergne de Canteloube. La Chaise-Dieu est une étape importante dans cette aventure. La coopération avec le prestigieux Arie Van Beek s’avère la plus belle des réussites. Pour
immortaliser cet heureux événement, un CD est en
préparation sous le label de
La Chaise-Dieu. Anne Picard (La Chaise-Dieu) |
Émission "Vivement
Dimanche", de Michel Drucker,
diffusée le dimanche 12 mars 2006 sur France 2
Invité d'honneur de l'émission, le comédien Bruno Wolkovitch reçoit ses amis parmi lesquels Isabelle Bonnadier. Celle-ci chante "Les Chemins de l'amour", mélodie de Jean Anouilh et Francis Poulenc, accompagnée par l'Orchestre des Concerts Colonne sous la direction de Laurent Petitgirard, qui a spécialement réalisé pour cette occasion une orchestration de l'œuvre.
… D’autres choses, sur le même petit écran, m’ont procuré un plaisir sans ombre. D’abord, sur la deux, dans l’émission de l’après-midi de Michel Drucker, « Vivement dimanche », l’hôte, Bruno Wolkovitch, comédien magnifique et modeste, recevait successivement deux jeunes femmes, aussi charmantes l’une que l’autre et d’un égal talent mais avec chacune son style. La voix de l’une Fanny Gilles, évoque, en quelque sorte, les parfums du Luberon. L’autre, c’est Isabelle Bonnadier, soprano classique qui s’est surtout consacrée au répertoire baroque mais qui vient, avec un CD tout neuf, de faire la démonstration de sa capacité à aborder tous les genres. Dimanche, elle a chanté, accompagnée par l’orchestre des Concerts Colonne, s’il vous plait, le très joli poème de Jean Anouilh mis en musique par Francis Poulenc pour la comédie Léocadia : « Les Chemins qui vont à la mer… » Un régal. Jean Boissieu (« Ma semaine des quatre jeudis ». « La Marseillaise, 16 mars 2006)
Dans
“Néron et Poppée”
Photo Gilbert Basso
La
presse marseillaise élogieuse
La
reprise en mars 2001 du “Couronnement de
Poppée” de Monteverdi, dans l’adaptation
abrégée
de la compagnie “Deus ex machina” (mise en
scène d’Andonis Vouyoucas) a
été unanimement saluée par les
médias marseillais.
“Isabelle
Bonnadier, Drusilla, possède une tessiture claire et un
style
sobre, d’un goût parfait. Une soprano
séduisante et émouvante de
naïveté”
(Jacques Feschel, La Marseillaise,
22
mars 2001).
“La Drusilla charmeuse
d’Isabelle Bonnadier”... (Michel
Egéa, Marseille
l’Hebdo, 22 mars 2001).
“Drusilla (Isabelle
Bonnadier) possède la fraîcheur ravageuse de son
rôle
ingrat (François-Xavier Carrelet, Le
Pavé,
29 mars 2001).
“La Drusilla d’Isabelle Bonnadier, autre soprano, délicieuse mais en outre “spontanément” perverse... (Georges Gallician, La Provence, 5 avril 2001).
Dans Casimir et Caroline , pièce de Odon von Orvath
Photos Raphaël Odin
(CND d'Angers, Théâtre de Bourg-en-Bresse, Théâtre des Célestins de Lyon : 3 novembre 2002 - 2 février 2003)
- "... La chanteuse Isabelle Bonnadier, qui sait être un faux monstre beau et émouvant"... (Gilles Costaz, "Politis")
- "La scène des monstres de foire est d'ailleurs tout à fait réussie, rappelant la masse sombre et grouillante du Freaks de Tod Browning, atmosphère rendue encore plus étrange grâce aux séquences musicales, interprétées par Juanita - troublante Isabelle Bonnadier". (Emilie Jullin, "Sitartmag.com")
- "La chanteuse Isabelle Bonnadier a une présence incroyable lorsque, accouplée à Nicolas Ducron, elle joue, en chantant admirablement, un monstre hermaphrodite". (G.C. "L'Avant-scène Théâtre").